Régis Mengus
Artiste Lyrique
Baryton
Lors de ses premières années de carrière, il incarne une galerie de personnages dans des productions telles que Carmen de Bizet dirigé par J-C Casadesus (Opéras de Lille et de Caen), Véronique de Messager (Opéra de St-Etienne), Faust de Gounod (Opéra de Metz) et bien d’autres.
Mais rapidement, la largeur de sa tessiture, très à l’aise dans l’aigu, en même temps que la couleur à la fois sombre et cuivrée de son timbre, lui permettent d’accéder à des premiers rôles réputés difficiles, comme par exemple Danilo dans La Veuve Joyeuse, qu’il a chanté à tout d’abord à l’Opéra-Théâtre de Reims et à l’Opéra de Nice.
En octobre 2013, il remporte le 1er Prix Homme et le Prix du public du Concours International de chant de Vivonne.
Et en mars 2014, c’est au Concours International de Bordeaux qu’il se distingue, en remportant le 1er Prix, le Prix du Public, le Prix spécial Voix Graves et le Prix de l’Opéra National de Bordeaux.
Il retrouve le rôle de Danilo en décembre 2014 à l’Opéra de Lausanne, puis les premiers plans se succèdent : Marcello dans La Bohème de Puccini (Opéra de Reims), Ourias dans Mireille de Gounod et Figaro dans Le Barbier de Séville avec l’orchestre Bell’Arte.
En janvier 2016, l’Opéra de Lausanne l’accueille à nouveau et lui confie le redoutable rôle du mari dans Les Mamelles de Tirésias de Poulenc.
Puis, il prouve encore une fois sa capacité à se jouer des difficultés en enchaînant immédiatement après avec le belliqueux rôle de Karnac dans Le Roi d’Ys de Lalo (mars 2016), suivi de Sharpless dans Madame Butterfly de Puccini (Opéra de Reims). Plus récemment, malgré de son jeune âge, il s’est vu confier avec succès le rôle titre d’Hamlet de Thomas (Opéra de Lausanne), Escamillo dans Carmen (Opéra de Rennes), et Albert dans Werther à (Opéra National du Rhin).
Parmi ses projets, citons entre autres Valentin dans Faust, Escamillo dans Carmen ainsi que le rôle titre
d’Eugène Oneguin à l’Opéra de Marseille.
Gardaz
Soprano
Sondaz
Soprano