"Princesse Czardas"
Emmerich Kálmán
"La Princesse Czardas" (Die Csárdásfürstin), composée par Emmerich Kálmán en 1915, est une des opérettes les plus aimées et les plus jouées du répertoire. Cet éblouissant mélange de mélodies envoûtantes, d'histoires d'amour transgressives et d'humour piquant, transporte le public dans l'effervescence de Budapest et de Vienne au début du XXe siècle.
L'histoire suit l'histoire d'amour entre la célèbre chanteuse de cabaret Sylva Varescu et le prince Edwin de Lippert-Weylersheim. Leur amour se heurte aux conventions sociales et aux attentes familiales, dépeignant les tensions entre l'aristocratie et le monde du spectacle, ainsi que le pouvoir universel de l'amour.
Kálmán mélange avec brio les rythmes entraînants de la czardas hongroise avec l'élégance de la valse viennoise, créant une partition riche et variée qui soutient à merveille le récit. Des airs tels que "Heia, in den Bergen" et "Tanzen möcht' ich" sont devenus emblématiques, célébrés pour leur capacité à capturer l'esprit et la passion des personnages.
"La Princesse Czardas" est une œuvre qui parle de désir, d'ambition et de la quête du bonheur, mettant en lumière les contradictions et les aspirations de l'époque. La mise en scène nécessite une reconstitution fidèle des décors luxueux et des costumes d'époque, contribuant à l'immersion dans l'univers de l'opérette.
Kálmán mélange avec brio les rythmes entraînants de la czardas hongroise avec l'élégance de la valse viennoise, créant une partition riche et variée qui soutient à merveille le récit. Des airs tels que "Heia, in den Bergen" et "Tanzen möcht' ich" sont devenus emblématiques, célébrés pour leur capacité à capturer l'esprit et la passion des personnages.
"La Princesse Czardas" est une œuvre qui parle de désir, d'ambition et de la quête du bonheur, mettant en lumière les contradictions et les aspirations de l'époque. La mise en scène nécessite une reconstitution fidèle des décors luxueux et des costumes d'époque, contribuant à l'immersion dans l'univers de l'opérette.